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Qu’il s’agisse de nos humeurs ou de nos idéaux, nous oscillons tous entre « présomption » et « abattement », « agitation » et « repos », notait Blaise Pascal, autrement dit, et à des degrés divers, entre désir et renoncement, excitation et dépression. Mais, s’il existe une bipolarité inhérente à la nature humaine, quelle en est l’explication ? Et sommes-nous capables de nous équilibrer ?

Ce cours expose le recentrage intime vécu et enseigné par les mystiques catholiques, et le compare aux perspectives défendues par d’autres religions, par le chamanisme, par des hérésies, par des sectes, et par des courants majeurs de la philosophie ou de la psychologie. Nous aurons pour but de comprendre ce qu’est une personne équilibrée et de faire ressortir les aspects psycho-spirituels du discernement mis en œuvre par le catholicisme.

Pour motiver à vivre le plus allègrement possible dans l’Esperance et à savoir donner le plus généreusement possible aux générations futures des raisons d'espérer, ce cours tente d’approfondir, d’une part, la Sémantique et l’objet de l’Espérance (Job) et, d’autre part, la symbolique et la dramatique qui s’y impliquent (Job). Puis allant plus loin dans l’investigation, on observe, à la lumière des fondements théologiques de l’Espérance (Sagesse de Salomon et Nouveau Testament), les enjeux des attitudes et des valeurs théophores auxquels engage l’horizon christocentrique de l’Espérance théologale (Proverbes, Siracide et N. T.).

Étudier l’Esprit saint ne comporte pas de limite. « Et celui qui monte ne s’arrête jamais d’aller de commencement en commencement par des commencements qui n’ont jamais de fin ». Grégoire de Nysse. (homélie sur le cantique des cantiques).

Grammaticalement, alors que « le beau » est un adjectif substantivé, « la beauté » est un substantif à géminée (redoublement du lambda en grec)...

Dans le Tome 2, nous allons nous pencher sur « L’essence de la Beauté »...

Beauté, utilité et gratuité. Le beau et le bien. Le goût, l'artiste et le public.

La matière du sacrement de l’eucharistie est une nourriture et une boisson : du pain, azyme chez les latins, levé chez les orientaux et du vin de raisin : ce sont les éléments d’un repas, disposés sur une table, et l’on sait d’ailleurs, d’après la 1ère Lettre aux Corinthiens, que cette nourriture eucharistique était consommée au cours du repas commun....

L’eucharistie (messe, divine liturgie, sainte cène), qui est le sacrement de l’Unité, apparaît paradoxalement aujourd’hui comme le lieu de la division des chrétiens, non seulement entre Eglises, mais à l’intérieur d’une même Eglise

Ce cours propose une analyse approfondie des rites liturgiques fondamentaux dans la tradition chrétienne, en particulier ceux qui touchent l'Eucharistie et les sacrements. Il permet d'explorer les origines historiques, les évolutions théologiques et les structures des sacrements, en insistant sur la manière dont ces rites structurent la vie de l'Église et de ses membres. À travers une étude minutieuse des rituels, des prières et des symboles, les étudiants acquerront une compréhension complète de ces pratiques sacrées et de leur rôle dans la vie chrétienne.

En vue de découvrir l'originalité de l'Évangile selon Jean, nous proposons une méthode, une vue générale et certains thèmes de cet Évangile, en espérant que sa lecture devienne une nourriture impérissable et une source d'eau vive pour la soif spirituelle du lecteur.

En vue de découvrir l'originalité de l'Évangile selon Jean, nous proposons ici certains thèmes de cet Évangile : le dualisme johannique, la lumière et les ténèbres, Egô Eimi etc.

En vue de découvrir l'originalité de l'Évangile selon Jean, nous proposons certains thèmes de cet Évangile : amour et amitié, le témoignage et témoigner, le commandement de l'amour etc.

Pourquoi parler en paraboles ? La réponse de Jésus est claire : "Pour qu'ils regardent sans regarder, qu'ils entendent sans entendre ni comprendre" (Mt 13, 10). Il y a toujours plus et autrement à entendre et à comprendre, à condition d'ouvrir les oreilles...   Rédigé par le fr F. Genuyt, le cours est maintenant suivi par le P. Bruno Callebaut.

Il importe de donner toute sa valeurs aux deux espaces mentionnés : la ville de Jérusalem où Jésus entre de façon spectaculaire et le Temple, où il guérit après avoir fait le ménage... Rédigé par le fr F. Genuyt op, le cours est suivi par le P. Bruno Callebaut.

La construction du temps a son parallèle avec la construction dans l'espace...       Rédigé par le fr François Genuyt op , ce cours est maintenant suivi par le P. Bruno Callebaut

Conformément au titre, le cours évoque des expériences et renvoie à l’expérience du lecteur, pas à sa représentation intellectuelle du monde ni à sa philosophie de la vie. Il ne cherche pas à communiquer un savoir mais à donner envie de vérifier expérimentalement ce qui est annoncé.

A l’aide d’une enquête sociologique, le contenu des expériences est analysé, en la passant au crible des philosophes du soupçon.
Puis les questions posées sont reprises en relisant la Bible. Enfin, nous revenons à notre propre expérience, à notre propre pratique : qu’en est-il de la prière régulière, de l’oraison, des méthodes et techniques de méditation ?

Après le cours sur l’expérience intérieure et celui sur l’expérience spirituelle... après les récits des conversions célèbres... après quelques analyses sociologiques et après l’épreuve du soupçon par la radiographie marxiste, nietzschéenne ou freudienne... ce cours progresse au cœur de l’âme humaine, en entrant maintenant en des paysages de plus en plus contrastés et profonds : l’expérience mystique.
 

L’expérience de Dieu est sans conclusion, cependant nous devons mettre un terme à cette étude qui comporte déjà trois cours. Ce quatrième cours poursuivra l’enquête commencée sur la mystique en présentant le thème de l’union à Dieu. Au sein de l’expérience mystique, il le déploiera en présentant une expérience très différente : l’expérience prophétique.

L’expérience de la souffrance et de la maladie, dans la théologie de Xavier Thévenot. La réflexion repose sur l’œuvre du théologien moraliste décédé en août 2004 de la maladie de Parkinson et d’une sclérose en plaques, après 25 années de souffrance. Il a su intégrer l’apport des sciences humaines à l’ensemble de son questionnement théologique.