M. Complém. Liturgie

Les études portent sur la Communion Anglicane, l’Eglise Catholique, les Eglises Evangéliques, les Eglises Luthériennes et Réformées, l’Eglise Orthodoxe.Ensuite, sont présentées quelques questions précises : l’épiscopat et l’épiskopè (vigilance, surveillance) ; les ministères féminins ; les différentes formes de diaconat.

L’eucharistie (messe, divine liturgie, sainte cène), qui est le sacrement de l’Unité, apparaît paradoxalement aujourd’hui comme le lieu de la division des chrétiens, non seulement entre Eglises, mais à l’intérieur d’une même Eglise

Aujourd’hui des chrétiens assistent volontiers aux célébrations d’autres Églises ; le catholique n’ignore plus complètement la divine liturgie des orthodoxes qui, eux-mêmes, se risquent parfois dans des offices protestants. Pourtant, malgré ces rapprochements, l’ignorance mutuelle reste grande. Ce cours voudrait y remédier.

Les Églises, la théologie, attentives aux mutations de notre monde, ont entrepris une réflexion en profondeur sur le baptême, signe combien précieux, de leur unité déjà effective et mutuellement reconnue.

Ce second cours, Phénoménologie et Théologie de la liturgie, aborde la Liturgie en tant qu’action sacrée, symbolique et rituelle..., "action commune du Grand Prêtre Jésus-Christ et de son Eglise, pour la glorification de Dieu et la sanctification de l’homme"...

Ce premier cours s’attache plus particulièrement à l’histoire de la Liturgie, ses racines juives, puis son évolution au temps des apôtres et des Pères de l’Eglise jusqu’au IVè siècle. Il permet également une approche des différents Rits orientaux et occidentaux, et spécialement le Rit romain.

Le fr Anselme Baudelet, bénédictin, fait cheminer de l’Eucharistie, coeur de la vie liturgique, aux sacrements concernant les "réalités humaines fondamentales" : d’une part la Réconciliation et l’Onction des malades et, d’autre part, l’Ordre et le Mariage.

La matière du sacrement de l’eucharistie est une nourriture et une boisson : du pain, azyme chez les latins, levé chez les orientaux et du vin de raisin : ce sont les éléments d’un repas, disposés sur une table, et l’on sait d’ailleurs, d’après la 1ère Lettre aux Corinthiens, que cette nourriture eucharistique était consommée au cours du repas commun....

Ce cours est remarquable à plusieurs titres. Il présente une question essentielle longtemps marginalisée dans la théologie sacramentaire : la dimension de mémorial dans l’eucharistie. Il exploite à merveille les apports de Louis-Marie Chauvet à travers le prisme particulier de la mémoire.