DOMUNI UNIVERSITAS

Du devoir de désobéir

Du devoir de désobéir

Après un survol du positivisme juridique, de ses fondements et de ses finalités, nous allons, dans une deuxième partie, étaler les incohérences et les limites du positivisme juridique afin d’aboutir à la nécessité voire le devoir de désobéir pour ne pas cautionner les méfaits d’une justice dépourvue de fondements éthiques et de pourvoir à son remplacement par un droit éthiquement plus acceptable

Professeur : Ma Serges Domanou

Présentation

 « Quand l’injustice devient loi, la rébellion devient devoir. » Cette sentence lapidaire de Thomas Jefferson, résume, on ne peut plus clairement, la perspective de notre  réflexion tout le long de ce cours. La métaphore géométrique du droit, en fait, aux yeux de beaucoup, une instance idéale de régulation sociale. Dura lex, sed lex (La loi est dure, mais c’est la loi) se complaît-on à dire, pour rappeler le caractère irrévocable des dispositions du droit positif, au regard de la justice  qu’il est appelé à rendre afin d’assurer et de garantir l’ordre, l’harmonie et l’équité au sein des sociétés humaines. Mais une analyse  minutieuse du phénomène juridique,  découvre les nombreuses scories que recèle le positivisme juridique, avatar d’une justice orpheline de la justice. 

Plan du cours : Du devoir de désobéir

Introduction

PREMIÈRE PARTIE : LE POSITIVISME JURIDIQUE


DEUXIÈME PARTIE : LIMITES DU POSITIVISME JURIDIQUE ET LE DEVOIR DE DÉSOBÉISSANCE

 

CONCLUSION